Ch. de Kain [ PV Ruka ] [ Hentai ]

"Tu as encore le gout de l'alcool... C'est pas vraiment très agréable tu sais?"

Ce fut alors les mots que Ruka prononça après que tout deux aient plus ou moins appuyés leurs geste l'un envers l'autre.
Ruka l'avait fait appuyer sa main plus encore sur sa poitrine pour qu'il sente les battements de son cœur...Son cœur qui était complétement chamboulé, les battements étant très rapide et irréguliers.
Quand à Akatsuki, la main de Ruka qui se promenait sur une partie très sensible de son anatomie commençait à le faire monter en flèche.
Juste le toucher...la sensation était déjà plus différente qu'avec Senri ou encore Aidô, c'était même beaucoup plus délectable...
Il fut alors ravie de voir que Ruka voulait détendre l'atmosphère, seulement il se retrouvait à ne savoir que dire.

"Est ce si gênant que cela ?"

Évidement, c'était une question auquel il n'attendait pas particulièrement de réponse.
Il aimait sentir les doigt de Ruka lui parcourir le corps, c'était si agréable...
Il fit alors un léger changement de position oui il ne fit que descendre ses lèvres dans le cou de Ruka, se courbant en même temps, pour atteindre la poitrine de sa compagne.
Il commença alors à y déposé quelques baisers sulfureux, se permettant même de lècher juste le bout de son sein...

Alors que Kain savourait cet instant, "s'amusant" à embrasser la poitrine de son amie, cette dernière insista plus au niveau de son membre qui eut pour effet de faire emmètre un son, comme un gémissement de la part d'Akatsuki.
C'est alors qu'elle lui remonta le visage pour l'embrasser de nouveau.
Ce baiser avait un gout très spéciale...du sang...du sang venait de se baiser et c'était écoulé sur le lèvres de notre beau rouquin, qu'il apprécia à lécher.

"Ca va? Je ne fais pas trop de faux pas pour le moment?"

"Tout est parfait Ruka..."

Et lui, si prenait-il bien ?
Il n'osait pas vraiment posé la question, mais le fait que Ruka retire sa main de son caleçon pour échanger les rôles, elle s'asseyant sur lui, fut un peu comme une réponse en lui même.
Elle lui prit alors sa main pour aller la poser sous sa jupe.
Assis de la sorte, Ruka sur lui, il ne savait pas trop quoi penser, si c'était elle qui dominait la situation, lui étant dominé à sa maîtresse, ou si c'était plutôt lui le dominant, assis comme un prince, sa princesse enclin à une demande spéciale.
Il la regarda alors rougissant mais puisque tout allait dans le feu de l'action et que elle avait osé, il ne se fit pas prier.
D'une main, il passa son bras dans le dos de Ruka pour la faire venir contre lui, sa poitrine si douce, contre son torse brûlant, pour que, de l'autre main, à présent sous sa jupe, il aille retiré sa culotte de soie noire, la faisant glisser le long de ses jambes longiligne, pour finir, à deux doigts, aller commencer à caresser cette partie si sensible chez la femme, le clitoris.
Kain ne s'y connaissait pas vraiment en matière d'anatomie féminine, mais un homme savait tout de même certaine chose...

Après que Kain ait osé aller plus loin dans ses actes, c'est à dire aller caresser une partie très sensible chez Ruka, il entendit alors un son provenir de cette dernière. Tout comme Kain lorsqu'elle le touchait, elle n'avait put contenir un gémissement.
Il se demanda alors quelle sorte de plaisir elle ressentait ?
Était-il le même qu'il avait éprouvé quelques minutes auparavant ?
Il cessa de se poser des question lorsqu'il sentit couler sur ses doigts quelque chose d'humide...
Il ne voulu pas alors cesser son acte, mais Ruka ramena sa main vers eux et commença à lécher les doigts de notre rouquin, tout en ne détachant pas son regard du sien.
Kain aurait put s'en mordre les lèvres tellement il trouvait sa plaisant.

"Que souhaites mon prince?"

A ses paroles, Kain eut alors une poussée d'adrénaline et n'eut même pas envie de lui répondre, mais d'agir directement.
Il embrassa alors Ruka et, la prenant dans ses bras, il la fit basculée de nouveau pour l'allonger sur le lit.
Une fois dans cette position, il descendit ses lèvres le long de son ventre, passant par le nombril, laissant l'une de ses mains sur sa poitrine, puis il glissa son visage sous sa jupe pour aller rejoindre de ses lèvres et de sa langue la partie la plus sensible de l'anatomie de sa compagne.
Il commença alors par l'embrasser pour finir par jouer de sa langue voulant faire gémir la jeune vampire.
Son autre main elle, se baladait au niveau des cuisses de Ruka, caressant doucement le long de sa jambe, allant et venant, tandis que l'autre avait glisser doucement du sein de Ruka pour lui caresser tout le haut du corps, sentant la chaleur monter...

Alors que Kain se retrouvait entre les cuisses de Ruka, s'amusant de sa langue et de ses lèvres, titillant la partie intime de la jeune vampire, il ne laissait tout de même pas au hasard le reste de ses sens.
A l'écoute des gémissements de Ruka, il ne pouvait se retenir de faire monter son adrénaline.
De l'entendre ainsi, il avait du mal à contenir lui aussi des gémissements de plaisir, l'excitation montant assez rapidement.
Il sentit alors les doigts de Ruka s'entremêler avec les siens, se crispant de temps à autre.
Il remonta alors à son visage et se fit directement embrasser, avant même qu'il n'ait eut le temps de se lécher lui même ses lèvres, humide de sa salive et de ce liquide qui appartenait à sa fiancée.

Il essaya alors de se retenir d'un gémissement lorsque la jambe de Ruka se remonta doucement vers ses parties intimes, mais il ne réussit pas à le contenir et la suite ne fut que soupir de satisfaction et quelques petits cris d'envie.
Il se mordit alors la lèvre devant Ruka, rougissant à ses actes. Son membre durcissait encore et c'est alors que, l'excitation étant à un niveau assez élevé, que d'une main il tira la braguette de la jupe de Ruka, pour pouvoir la lui retirer.
Une fois cela fait, il ré-embrassa sa douce et lui prit l'une de ses mains, pour l'inciter à aller le caresser sous son caleçon...
Lorsqu'il l'embrassait, il sentait la chaleur de ses joues monter encore et encore.
Il espérait que Ruka ne le regarde pas, mais au fond, c'était beaucoup plus excitant de voir ou de se sentir vu par son partenaire dans des situations légèrement gênante...

Des gémissements...à n'en plus finir...Ruka continuait ses vas et viens et cela ne faisait que languir d'avantage Kain qui avait du mal à retenir tout petits cri.
Seul les baisers fougueux de Ruka l'empêchait de faire sortir un seul son de sa gorge.
C'est alors que Ruka le fit basculer, se retrouvant une nouvelle fois sur lui, lui retirant son caleçon.

"Vous permettez Monseigneur?"

Kain, les yeux grand ouvert, rougissant de se faire voir nu par sa douce, se laissa alors faire par ses gestes. Il n'allait pas le lui refuser, bien que cette situation le gênait d'outrepasser ses pensées.
Elle descendit d'abord doucement le long de son ventre, faisant languir notre beau rouquin pour ensuite aller jouer de sa langue sur son membre.
Ses doigts se refermèrent alors sur ses draps de soie émeraude, désirant pourtant toucher les cheveux de Ruka, ou même simplement sa peau, ses épaules, toute partie au quelle il pouvait avoir accès.
Il ne retint alors pas cette fois ci ses gémissements, ne voulant pas aller frustrer Ruka. En faisant cela, il lui montrait qu'il appréciait énormément, qu'elle lui donnait énormément de plaisir.
Elle se stoppa alors et, remontant jusque son visage, allant glisser ses lèvres près de son oreille, laissant ses mains lui caresser les cheveux.

"On continue...?"

Kain alla avant de lui répondre, lui prendre le visage pour aller l'embrasser.
Lui aussi avait eut une perte, toute petite certes, un liquide qui était sortit de sa virilité auquel Ruka avait surement du gouté.
Il l'embrassa alors comme pour le lui faire oublier...

"Uniquement si tu te sens prête Ruka..."

Il le dit alors sur un ton de voix posé tout en la regardant tendrement et surtout avec beaucoup d'attention.
Il laissa alors de nouveau aller ses doigt se glisser sur la partie intime de sa compagne, allant même jusque la pénétrer doucement, ne cherchant pas à la brusquer.

Alors que Kain introduisait ses doigts doucement à l'intérieur de Ruka, il se stoppa à un certain niveau. Ruka en gémit, mais il ne préféra pas aller plus loin, elle ce contractait beaucoup trop, il avait peur de lui faire mal.
Il la vit alors essayer de se mettre à l'aise, lui susurrant quelques mots doux et coquins, ce qui lui donnait en quelque sorte le feu vert.
Il se retrouva alors de nouveau au dessus d'elle.
Il menait le jeu à présent et il n'avait vraiment le droit à l'erreur. Il n'avait aucune envie de faire de faux pas dans la situation dans laquelle ils se trouvaient.
Il sentit alors son membre toucher la partie intime de Ruka, cette dernière écartant les jambes, lui donnant en quelques sorte un accès.
Les petits cris que Ruka poussaient, rendaient presque ivre notre beau rouquin...
Il l'embrassa alors dans le cou puis sur la poitrine, essayant de la détendre un peu. Au fond, une première fois était toujours très convoitée mais aussi crispante.

Il passa alors une main dans le dos de Ruka, qui descendit jusque son fessier, pour faire remonter son bassin.
A partir de là, de l'autre main, il s'aida à faire rentrer doucement son membre à l'intérieur de son aimée.
Il laissa alors sa verge pénétrer doucement le vagin de la vampire mais y allant en douceur.
C'était la première fois pour Ruka, elle risquerait d'avoir mal au début et il s'apprêtait à s'arrêter à tout moment.
Il continuait tout de même ses baisers chaud, le long du cou de Ruka, se courbant même légèrement pour embrasser sa poitrine.
Au fond, même s'ils arrêtaient tout, Kain était heureux en lui même...Ruka lui "offrait" sa virginité.

"Pardonne moi..."

Ce furent alors les mots que Ruka lui dit lorsqu'il se retira. Mais pourquoi s'excusait-elle ?
Kain préférait se retirer après avoir su qu'elle avait mal dans l'acte qu'il faisait.
Son cris de douleur ne lui était pas passé inaperçu et il ne voulait pas la brusquer.
C'était même peu être mieux ainsi.
Les larmes de douleur qui s'écoulaient sur son visage firent alors culpabiliser Kain.
Mais à peine eut-il le temps de dire quoi que se soit, même de lui sourire pour la rassurer qu'elle se retourna, tête dans l'oreiller.
Il lui baisa alors le dos, lui caressant les bras, laissaient ses cheveux lui chatouiller la peau...

"C'est normal Ruka...et je ne peux pas t'en vouloir. C'est mon choix d'arrêter. Je n'ai pas envie de continuer à te faire mal de la sorte..."

Il la vit alors passer sa main sous l'oreiller et en sortir ce vieux nounours de Ruka-kun.

"Tu l'as gardé pendant tout ce temps?!"

Kain, allongé sur le dos de Ruka, souria et alla l'embrasser dans le cou, laissant ses cheveux lui chatouiller le visage...
Il se souvenait de Ruka...si seule ce jour là. Il ne la connaissait pas et lui et Aidô s'amusait à faire le concours du plus beau château de sable. Aller savoir d'ailleurs pourquoi Aidô avait gagner...Kain le laissait tout le temps gagner.
Ce jour là donc il était aller à la rencontre de Ruka et ils avaient parler brièvement avant qu'elle ne reparte chez elle, lui laissant le nounours.
Le nounours sans oreille...Ruka-kun.
Au fond c'était elle qui lui avait donner l'idée de l'appeler ainsi.
Il ne dormait pas vraiment avec, mais il était toujours sous son oreiller. Pourquoi ? Uniquement pour se souvenir de se jour, le jour de leur rencontre.

"Oui, il est toujours sous mon oreiller. Au fond, tout est partit de là, de ce jour de printemps, ce 12 juin, l'année de nos 5 ans...Je t'aime Ruka..."

C'est derniers mots, il dit alors tout bas, laissant son souffle lui caresser tendrement la peau.

"Effectivement, il faisait beau et tu portais ton t shirt rouge et blanc, celui qu'Aido a taché de peinture l'année suivante. Moi j'ai une bonne mémoire quand il faut, non?"

Elle n'avait pas tort du tout...mais enfaite, il ne se souvenait pas de son t-shirt mais plutôt de la robe bleu ciel qu'elle avait porter ce jour là. Son t-shirt et la peinture l'année suivante ? Oui c'était vrai, même que lui et Aidô c'était fait fortement grondé par les parents pour avoir jouer avec la peinture...

"Oui et ta petite robe bleu ciel que tu portais ce jour là, elle c'était déchirée lors d'un pic nique quelques mois après notre rencontre !"

Ruka se posa alors sur le côté, faisant glisser Kain légèrement, lui caressant tendrement les cheveux...

"Saches que c'est moi qui t'aime le plus, Akatsuki..."

Si seulement cela pouvait être vrai...car effectivement cela était faux. D'eux deux, c'était bel et bien Kain qui aimait le plus Ruka.
Il lui sourit et c'est alors qu'elle mis sa chemise pour aller fermer les rideau de la chambre, les plongeant dans le noir total.
Il remit alors son caleçon le temps qu'elle fasse tout cela.
Elle revint ensuite sur le lit, se collant à lui, l'embrassant la joue.

"As tu encore peur du noir?"

"Tant que tu es là, je n'aurais pas peur..."

Il lui dit cela sur un ton amusé. Elle se préoccupait de lui et il appréciait beaucoup le geste.
Il la regarda alors, avec sa propre chemise sur le dos...
Elle ne portait que cela, sa chemise rouge, et elle lui allait vraiment bien.
Il voyait ses jambe nu et sa poitrine qui se dessinait sous le tissu...

"Cela te va bien !"

"Il doit être triste tout seul Ruka kun... tu ne lui as pas trouvé de copine? Ce week end, on sort en ville et on va lui acheter une Akatsuki chan!"

Il ne manquait plus que cela...mais au final, pourquoi pas ! Enfin Akatsuki-Chan comme nom c'est pas terrible, terrible...
Il se retrouva alors allongé sur son lit, Ruka au dessus de lui, collé l'un à l'autre, lui déposant alors ses bras autour de la taille...

"Doutes tu de mon amour pour toi? Tu veux des preuves de ce que je dis? Je viens de te donner, tant bien que mal ma virginité, ce n'est pas ton cas, toi qui dis m'aimer depuis toujours, tu n'as pas hésité à faire je ne sais quoi avec Aido et peut être d'autre... Ensuite, celui qui a fait une déclaration à l'autre pour le moment c'est moi, pas très galant par ailleurs de ta part. Convaincu?"

Il resta alors la regarder, abasourdis par ses paroles. Il se sentait à présent honteux de ses dires, dont elle n'avait pas tort...Enfin, il savait quoi lui dire, comme quoi il l'aimait depuis toujours mais qu'elle ne l'avait jamais remarquée, mais il ne voulait pas lancer cela comme ça, il savait très bien qu'elle le prendrait mal, du fait qu'elle n'eut jamais rien vu de ses sentiments.

"D'accord, convaincu, mais sache que je me rattraperais...*au bal, il en est certain...*"


"Et bien, c'est vrai. Cela me fait une jolie chemise de nuit, j'aurais bien envie de la garder."

Il la regarda alors. Leurs discutions s'enchainaient et le fait d'être ensemble ne changeait en rien à leurs habitudes. Il alla alors posé une main sur la joue de ruka et de l'autre la posé sur ses hanches.

"Et bien garde la si tu le souhaites. Si elle t'aide à penser à moi plus encore, j'en serais ravi."

Kain remarquait bien que Ruka commençait à tomber dans les bras de morphée.
En la voyant s'allonger sur lui et fermer les yeux petit à petit, il la prit dans ses bras et une fois endormie, il mis la couette sur eux deux.
Il s'endormit alors par la suite lui aussi, ne se préoccupant même plus d'ou Aidô aurait coucher.
Mais il en rêva. Il était tout de même attacher à son cousin et espérait qu'il n'aurait pas finit entre les bras d'ichijo-kun...
Mais il ne rêva pas uniquement de ça, mais aussi et surtout de la belle Ruka. Cela ne changeait pas vraiment à d'habitude, il la voyait toujours dans ses rêves.
Seulement cette fois ci, dans son rêve, elle ne s'éloignait pas de lui, mais se rapprochait.
Il dormait même tellement bien qu'il espérait ne jamais se réveiller, croyant que ce qui c'était passé la nuit avant de dormir était tout comme son rêve, une illusion.
Mais le baiser de Ruka, la réveillant fut alors vraiment agréable.

Il n'avait pas rêver...tout c'était réellement passé.

"Bonjour toi. Bien dormis?"

Ils avaient dormis dans la même position toute la nuit, ce qui n'était à priori pas aller pour leurs déplaire.
Il rougit alors à la pensée qu'elle avait bien put l'observer dormir.
Cela avait un côté mignon.

"Oui très bien et toi, princesse ?"

Il l'embrassa alors à son tour, profitant de l'instant.

"Devine de quoi j'ai rêvé ? D'aidô ! Qui dormait sur le pas de la porte !"

Il en ria alors, même s'il s'inquiétait de la chose.
Enfin, Aidô ne se laisserait pas abattre par si peu.

"Magnifiquement bien, j'avais un sympathique nounours qui m'a tenu compagnie toute la nuit."

Ces paroles le fit alors sourire encore et encore. Lui non plus n'avait pas une tête très réveillée. Disons que ses yeux le piquaient encore et qu'il avait du mal à les ouvrir plus qu'à la moitié.
Il fut surpris alors qu'elle le quitte si rapidement pour se rendre dans la salle de bain.
Une fois qu'elle y fut, il soupira, baillant à son tour, laissant paraître ses crocs d'un blanc immaculé.
Des larmes coulèrent alors de ses yeux, qu'il s'empressa d'essuyer, les frottants, le poings serré, comme un enfant.
Il se leva alors enfin, se dirigeant vers son armoire. Il prit alors une chemise noire propre car l'autre avait disparu sous le tas de fringue de son propre cousin.
La chemise en main Akatsuki observa le bordel.

*Il serait peut-être temps effectivement de faire quelque chose...*

Kain se dirigea alors vers la fenêtre, observer derrière le rideau.
Le soleil se couchait mais cela lui faisait quand même mal au yeux.
Comment les humains pouvait-ils supporter cela toute la journée ? Il bailla alors encore une fois avant de retourner s'assoir sur son lit, attendant que Ruka sorte de la salle de bain.
Il essaya alors de se remémorer sa nuit...enfin sa journée. Il s'en était passé des choses...
Mais devait-il prendre tout cela pour réel ? Disons, est ce que Kain pouvait-il se dire être tranquille ?
Elle lui disait qu'elle l'aimait, il savait qu'elle sincère, seulement il y avait encore Kaname. L'homme envers lequel elle eut jeter son dévolu.

Ruka sortit alors de la salle de bain et, serviette autour de la taille, elle alla l'embrasser pour le laisser à son tour aller dans le salle de bain.
Prenant ses affaires, il alla donc dans la salle de bain, fermant la porte à clef derrière lui.
Il se déshabilla, alla dans la baignoire et il laissa l'eau chaude couler le long de son corps d'éphèbe.
Sa tête était penchée vers l'arrière, ses yeux fermé, ses coudes sur le bord de la baignoire, il profitait de l'instant.
Il se rappela alors plusieurs chose encore une fois. Maintenant qu'il était avec Ruka plusieurs souvenir lui revenait plus en mémoire et ses doutes sur le fait qu'il aime plus les hommes que les femmes le remettait en question.
Certes, il prenait du plaisir à sortir avec un homme, mais dans la société, un homme avec une femme faisait beaucoup mieux que d'entretenir une relation du même sexe. Surtout venant d'une famille noble...
Et puis de toute manière, il aimait Ruka, depuis toujours et si elle voulait de lui, alors il resterait avec elle et continuerait de l'aimer.
par contre, si elle se devait de le quitter, il laisserait les femmes de côtés...
Il sortit alors enfin de la baignoire, s'habillant et se séchant vite fait les cheveux avec une serviette. Il ne se peignait jamais ou très rarement, la raison pour laquelle ses cheveux étaient toujours en bataille.

En ouvrant la porte de la salle de bain pour rentré de nouveau dans la chambre, il posa le pied sur un gros feutre rouge et manqua de tomber par terre. Heureusement qu'il avait eut le réflexe de se tenir à la commode à sa droite.
La chambre était rangée...ou presque...seul le bazar d'Hanabusa trainait encore dans un coin.
Il cligna alors des yeux, une fois, deux fois, trois fois...
Il prit soin de refermer la porte alors derrière lui puis de ramasser le crayon pour le déposer sur un meuble...

"Mais qu'est ce que tu as fait Ruka !?"

En plus de cela, il la dévisageait de haut en bas, la regardant porter l'une de ses chemises ( la oranger qu'elle lui avait offerte pour son anniversaire ) et un pantalon qui devait appartenir à Aidô.

"J'en avais marre de ce bazar j'espère qu'Aido va pas trop m'en vouloir... Cela te va à toi le rangement? Excuse moi d'avoir pioché dans ton armoire sans ta permission..."

Sentir ses mains contre son torse encore humide le fit frissonner. Ses lèvres touchant les siennes était encore un plaisir dont il savourait chaque instant.
Chemise en main, il commença à la mettre sans la boutonner, juste histoire de l'avoir sur le dos pour ne pas avoir froid.
Il prit alors ses deux mains et, les joignant, y déposa un baiser.

"Ne t'occupe pas d'Aidô, c'est moi qui subirait sa colère...et pour mes vêtements, ce n'est pas grave, c'est mieux plutôt que tu attrape froid en sous vêtement. Et...euh...disons que sa fait un choc de savoir qu'on avait toujours une moquette dans notre chambre!"

A vrai dire, Kain voulait ranger la chambre une fois que Ruka serait partit, mais puisqu'elle l'avait fait...il posa alors une main sur sa nuque, fermant les yeux, souriant.

"Merci Ruka, mais ce n'était pas la peine, enfin ce n'était pas à toi de le faire."

Il la vit alors lui sourire...puis aller le ré-embrasser, mais jouant avec le feu...avec lequel elle se brula. Elle venait de se couper à vouloir jouer avec ses canines et l'odeur et le gout de sang se rependaient dans l'organisme de Kain.
Il eut du mal alors à se contenir, ouvrant grand les yeux, ceux ci virant au rouge sang, puis sentant ses pulsions le prendre, il resserra son étreinte, ses bras enroulant sa tendre et douce Ruka.
Il alla passer sa langue sur la sienne, ne décollant plus ses lèvres des siennes.

Kain laissa alors ses mains descendre sur les fesses de Ruka pour la soulever et la forcer à enrouler ses jambes autour de ses hanches. Il s'avança alors en même temps vers le lit pour pouvoir l'y allongée et se retrouver au dessus d'elle.
Il cessa alors le baiser lorsqu'il se rendit compte qu'il faisait acte de vampirisme et que Kaname l'avait déjà attraper pour ça.
Il la regarda alors, passant une main sur ses mèches de cheveux les dégageant de son visage, laissant son regard redevenir de sa couleur ocre habituelle.
Kaname...encore lui. Mais Kain ne pouvait pas se résigner à lui désobéir. Ils étaient amis tout les deux et Kain s'occupait même d'être toujours à son service. Il n'appréciait juste pas Kaname à cause des sentiments de Ruka à son égare, mais sinon, tout allait pour le mieux, il s'agissait de son maître, de son ami, malgré qu'au fond, il ne le connaisse pas réellement.